Discographie

Discographie de Bernard d’Ascoli
Chopin – Intégrale des nocturnes – Athene-Minerva 2005 – n° 23201

« Un disque pénétrant de Bernard d’Ascoli : une révélation. … Disons d’emblée que même dans un marché hautement compétitif, cet enregistrement se place parmi les plus remarquables des nocturnes de Chopin. … Il s’impose comme un pianiste de premier ordre. »
Bryce Morrison, Gramophone – Editor’s choice, March 2006

 

Chopin – Intégrale des scherzi et impromptus – Athene-Minerva 2004 – N° 23024

« Il a de toute évidence une forte affinité avec la musique de Chopin, et une bonne part de son jeu dans ce disque, en particulier dans les scherzos, me rappelle Rubinstein et Emmanuel Ax. Il partage avec eux une approche directe, un rythme ferme, un raffinement du timbe et une utilisation judicieuse du rubato. Les textures sont transparentes, les mélodies dessinées avec un sens de la ligne digne d’un chanteur, et les voix intérieures sont conduites avec subtilité. »
Charles Timbrell, International Record Review – May 2005

 

Schumann – quintette op. 44 (avec le quatuor Schidloff), arabesque op. 18, Blumenstück op. 19 – Linn Records 2001 – CKD 132

« Cet art lucide mais poétique trouve sa place dans la conduite très naturelle de l’arabesque op. 18 et de Blumenstück op. 19. »
Michel Le Naour, le Monde de la Musique – novembre 2002

 

Chopin – intégrale des ballades, tarentelle op. 43, berceuse op. 57, andante spianato e grande polonaise op. 22 – Nimbus 1990 – NI 5249

« Bernard d’Ascoli produit la plus lumineuse qualité de son dont on puisse rêver, et, dans les moments poétiques qui abondent dans ces pages (sa berceuse et son nocturne restant des interprétations inoubliables) j’ai eu le sentiment qu’on ne pouvait aspirer à mieux – celles-ci sont vraiment uniques. »
Classical CD – octobre 1990

 

Schumann – carnaval op. 9, papillons op. 2, Phantasiestücke op. 111 – Nimbus 1989 – NI 5170

« Tout feu, tout flamme, Bernard d’Ascoli aborde le Carnaval avec une fougueuse intrépidité… Bernard d’Ascoli s’impose avec sa sonorité superbe, son éloquence et son rayonnement. »
Jean Roy, Diapason-Harmonie – août 1989

 

Liszt – sonate en si mineur, la leggierezza – EMI 1995 – CDCFPSD 4745 – Enregistré en 1982 avec le prélude choral et fugue de Franck

« Il s’agit ici d’une lecture que j’aurais attendu d’un Wilhelm Kempff à son meilleur, d’une clarté de cristal, même dans l’apothéose de la fugue. »
Edward Greenfield, the Guardian – juillet 1982